Je me fous des histoires virtuelles. Aucun
Je me fous des histoires virtuelles.
Aucun intérêt.
Je me fous des histoires virtuelles.
Aucun intérêt.
Lambert, je sais que GK pille mon blogue avec son club de mâle et de saloperies de muses, pour reporter l'inspiration aux pieds de Sibylle.
Je sais qu'ils se foutent de ma gueule.
Tous.
Je ne suis pas sotte.
Et je sais que je ne suis pas aimée de vos poètes.
Que je ne l'ai jamais été.
Mais et d'une j'adore la philo depuis toujours et de deux j'en ai assez de la culture de l'ignorance.
Donc je continue.
Cessez de me marier avec des abrutis libideux et/ou malhonnêtes.
Quant à vos histoires de cul, je ne comprends rien de ce que vous écrivez.
je n'échange avec personne sur la toile virtuelle du fait du harcèlement.
Parlez-vous de votre femme avec mon univers?
Strange!
Vous êtes comme un pacha dans votre bibliothèque privée.
Les gamins des cités n'ont pas cette chance le plus souvent.
Laissez-nous étudier bordel de merde!
Quant à Sardou, qui êtes-vous?
Veuillez écrire avec la fée et laisser tranquille ce blogue.
Je ne vous connais pas et je ne connais pas votre fée.
je me fous de Sardou et de votre univers délétère.
Vocables ou mots pour l'instant m'en fiche.
Par contre pourriez-vous me fournir une liste de vocabulaire pour me dépétrer de la toile d'araignée sectaire?
Seriez bien aimable.
😂
Je n'ai jamais commis autant de commentaires débiles que depuis que j'ai annoncé que je haïssais la poésie virtuelle et que j'adorais la philo.
Le dernier chez Bright es charlatanerie eschatoillogique:
"Çà fait intello, vachement.
Mais qu'est-ce que çà veut dire?
À part que vous ne m'appréciez pas parce que je n'apprécie pas des gens que vous appréciez?
Certes, chez vous la poésie cultive le mystère, mais ce mystère doit-il servir des charlatans?
Et si, toutes mes photos sont vraies comme mon univers contrairement aux copycats vôtres.
Bien à vous, dans la lumière of course."
J'ai écrit un comment ici et comme il ne sera pas publié car contrairement à ce qu'elle claironne chez elle tout se sépare et rien ne circule sauf les gouroux, je le poste ici.
Ce en quoi je me demandais si c'était la fin du cauchemar en lui posant cette question:
"Vos projections sentimentales sont finies?"
Si seulement elle prenait le relais, le cul bien orienté de trois quart hein.
Sous les caméras illuminescentes.
Par sentimentalité de pacotille interposée.
Avec un océan de merde sous de jolis mots pompeux.
Et des vagues délétères vrombissant les unes après les autres.
Sous l'oeil de maîtresse Gourou, Peter panpan et le fairytale céleste habituel à la Paris Match.
Quelle belle histoire d'amourre!
Sauf que, me demandai-je:
Qui c'est ce type?
Vraiment on aura tout lu sur cette toile virtuelle ....
Etude ce soir.
Ce matin, je thésarde.
:-)
Pauvre con de merle, se trompant de cible pour sauver des saloperies ......
C'est vrai monsieur Merle: en ces temps de génocides, il est urgent de se préoccuper de la copulation des crapauds célestes.
C'est sans doute cela le communisme heideggerien.
Vous reprendrez bien un peu d'anglais .....
;-)
Vous n'imaginez pas à quel point cette journée fut belle ......
Parvenir à écouter ce que l'on veut, à lire ce que l'on veut, à écrire ce que l'on veut, sans que des furies et leurs mâles se jettent sur votre univers pour le saccager ou le récupérer aussitôt, tout de travers de préférence.
Ces musiques sublimes qui appartiennent à l'humanité sont des trésors, qu'on soit croyant ou pas n'a aucune importance.
Ces paysages peints et reproduits par OBEH, Zolotoe Runo, Riolis et bien d'autres, ces icônes reproduites par Riolis et quelques autres, ont agrandi mon paysage mental au cours de ces trois dernières années, prolongeant les découvertes de mon enfance, et ce n'est que du bonheur de partager toute la culture du monde, d'ouvrir son esprit à d'autres façons de sentir, de cogiter, de se représenter le monde et ses vagues, son mouvement perpétuel de l'infiniment petit à l'infiniment grand.
Bien sûr demain il y aura à nouveau le clapet génuflexif qui tue toute énergie; il y aura toutes ces bouches à merde qui ne supportent rien; rien d'autre que le "la" dicté par leurs tyrans-gourous et leurs imbéciles de pacotille.
Mais nous aurons profité aujourd'hui et à l'inverse des muses, comme les mâles, nous serons parvenues à ouvrir tous les livres du monde loin de la terreur intellectuelle.
Eux écrivent peinards tout ce qu'ils veulent depuis l'aube de l'humanité.
Nous avons tant d'avance et tant de retard à rattraper.
Ils font de nous des malades pour nous ralentir.
Ils disent que notre job, c'est muses ou danseuses du ventre.
Que la toile qui nous revient, c'est celle de la Thaïlande virtuelle parce que nous choisissons la philo et quelques sujets graves, et non pas la poésie sectaire qui nous endort.
Ils disent aussi que nous avons un fichu caractère et que nous ne sommes pas communistes, que nous ne partageons rien, alors même que ous ne demandons jamais rien et qu'ils s'inspirent chaque jour chez nous et non pas chez leurs muses attitrées gavées d'or et de compliments.
Mais je vais rattraper ce temps perdu à comparer des femmes qu'on ne saurait comparer.
Et je vais garder ce fichu caractère qui n'est qu'une volonté farouche de ne pas composer avec l'inommable.
On trouvre toujours tout normal lorsque la normalité sert nos intérêts.
Mais le plus souvent, cette normalité est pathologique, ou au moins très malsaine.
Mes chéries, je vous le dis tout de go: on peut refuser le job de muse et se sentir belle malgré les ordures que tous ces gens écrivent parce que nous sommes en avance.
Ou plus excatement parce qu'ils ont tant de retard, ensemble.
Bonsoir.
Ma maman de coeur m'ayant enguirlandé comme du poisson pourri ;-), et elle a bien fait ....
Je reprends l'étude.
:-)